mardi 30 octobre 2007

La cinquième : La Soirée Cadeaux

A notre retour d’un bon resto mexicain, Faby m’avait demandé de la déposer avant de me garer afin de lui laisser une dizaine de minutes d’avance avant de monter à l’appart. J’ai donc pris mon temps, fumant même ma cigarette sur le trottoir, en essayant de deviner ce qui m’attendais …

Lorsque j’ai ouvert la porte, l’appartement était dans la pénombre bien qu’illuminé de plusieurs dizaine de bougies réparties un peu partout. Un doux parfum d’encens et d’huiles essentielles flottait, et sur la petite table au pied du lit étaient disposé une paire de menotte, un vibro, du gel de massage et un anneau vibrant, tous décorés par du bolduc.

La porte se referma derrière moi, et Faby m’apparut vêtue uniquement d’une paire de bas et de talons hauts avec en guise de collier un ruban de bolduc. Elle s’approcha et me murmura, « Voici tes cadeaux et moi je serais ton objet sexuel entièrement dévouée à ton plaisir ». Puis elle s’accroupit devant moi, déboutonna mon pantalon et de ses doigts experts sortit ma verge pour la lécher délicatement. « Ordonne et j’obéirais » me dit-elle en levant les yeux.

« Pour commencer, déshabille-moi ! » Faby se releva, abandonnant mon membre raidis et tout en caresses et sensualité m’ôta mes vêtements un à un.
Je m’allongeais alors sur le ventre et exigeais « Maintenant, masse-moi ». Faby saisit le gel et s’asseyant à cheval sur mes fesses, m’en enduit le dos et commença un long massage très érotique. Je sentais ses mains, son corps sur moi, aller et venir au rythme du massage. Sa chatte aussi, déjà trempée sur mes fesses me surexcitais. Je me retournais pour profiter pleinement de ses doigts enduits de gel et ses caresses m’amenèrent à la limite de l’orgasme.

« Tourne-toi. » Faby me tourna le dos, et je lui menottais les mains dans le dos.
« Allonge-toi sur le dos. » Les mains prisonnières sous son corps, je versais du gel sur ses seins, son ventre, son sexe. Le froid du gel la fit frémir, ses tétons se durcirent encore plus.
Je massais ce corps offert et lubrifié et très vite le froid laissa la place à la chaleur. Je lapais avidement son clito en érection tout en la pénétrant profondément avec le vibro.

Quand elle fut à la limite de jouir, j’enfila l’anneau vibrant sur ma queue et je m’enfonca en elle. Nos sens exacerbés par ces préliminaires ne tardèrent pas à déclencher en nous un violent orgasme.


samedi 28 juillet 2007

La Soirée Petits Papiers

Vous connaissez le strip poker ? Et une fois nu, vous faites quoi ???
Afin de corser le nôtre nous avions décidé, Faby et moi, de rédiger sur de petits papiers, dix de nos fantasmes sous forme de gages, afin de prolonger le jeu de manière encore plus coquine. Aussi dès l’avant-veille, nous avions préparé nos « petits papiers » roses pour Faby et bleus pour moi.

Sans déroger à la règle des soirées précédentes nous avons donc commencé celle-ci avec un bon repas arrosé de bon vin avant de passer aux choses sérieuses !
Faby eu une chance impertinente, je me retrouvais nu comme un vers au bout de quelques parties et pour moi le moment de piocher le premier petit papier était venu : il était bleu, donc rédigé par Faby. Un mélange d’appréhension et de désir m’envahi et après une brève hésitation je l’ouvris : « M’enlacer tendrement et m’embrasser pendant une minute ».
Ca démarrait doucement mais sûrement.

Je perdis les trois parties suivantes me retrouvant au quatrième gage les mains attachées et les yeux bandés à la merci de Faby pendant quatre minutes ! Puis elle perdit enfin et exécutant son gage, elle pris mon sexe dans sa bouche pour une délicieuse mais trop courte fellation de trois minutes, hé oui les gages sont chronométrés !

Le septième gage fût pour Faby, elle devait enfiler ses boules de Geisha et les garder jusqu’à la fin du jeu. Surexcitée, elle apprécia d’autant plus mes caresses imposées par les gages suivants comme par exemple celui de lécher certaines parties de son corps recouvertes de Chantilly. Lorsqu’elle perdit à nouveau, ce fût pour découvrir les sensations d’un vibro sur son bouton déjà inondé de désir. Et le gage le plus difficile à réaliser, autant pour l’un que pour l’autre, fût sûrement ce papier nous permettant enfin de faire l’amour, mais uniquement trois minutes …. Inutile de vous préciser que la dernière carte abattue, nous nous sommes littéralement jeté l’un sur l’autre.

Ce poker de fantasmes, de gages, de rires et de découvertes qui dura plus de cinq heures est encore aujourd’hui les plus longs préliminaires que nous ayons connu :
A essayer absolument !!!


mardi 26 juin 2007

Les découvertes de Faby

Personne ne parle de sexualité mais tout le monde en vis une. Moi, je vivais une sexualité « tranquille » avant de rencontrer Phil. Nous ne savions pas au début que nous étions aussi compatible sur le sexe, avec les mêmes idées, les mêmes envies et les mêmes besoins. Avec Phil, bien que j’ai déjà 37 ans, je redécouvre le sexe .
Nous nous sommes organisé des « soirées spéciales » au cours desquelles on peut se demander de réaliser tous nos fantasmes. Evidement, en bons épicuriens, nous trichons un peu car il y a aussi les « entre 2 soirées » … Ces moments fous, où emportés par notre excitation, nous osons plus et encore plus.
Merci à Phil d’être un aussi bon amant, à l’écoute de mon corps, de mes désirs et de m’offrir cette liberté de demander et de m’exprimer. Ne souriez pas car ce n’est pas évident et pourtant tellement important.

C’est ainsi qu’un après-midi, Phil m’entraîna sur une plage nudiste. Il faut dire que je suis assez pudique, mais bon, ça lui fait plaisir ! Et là, installés sur le sable, seuls, Phil se met nu de suite. J’enlève le haut … puis le bas. Allongée nue, à côté de lui, la caresse du soleil sur ma peau, la brise sur mon sexe et mes seins, j’en suis déjà « toute chose ».Il me passe de la crème sur le dos, les fesses, les jambes, puis les seins, le ventre et sa main descend sur mes cuisses, remonte sur mon ventre pour s’arrêter sur l’aine. Le souffle court, j’attends la suite … Je vis un moment très sensuel.. Enfin, ses doigts se faufilent dans mon sexe et cela l’excite de me sentir toute humide. Je le caresse à mon tour. Et de caresses en baisers, exalté par la peur d’être surpris, le désir est si intense, que téméraire, Phil me pénètre…
C’est bon et troublant à la fois. J’en veux plus… Nous quittons la plage pour la forêt qui la borde et là, à quatre patte sur ma serviette invite Phil à me prendre pour enfin nous soulager.

Ou encore cette fois pas comme les autres. Peut être à cause du vin, ou Phil plus « vicieux » que d’habitude, ou moi plus détendue ? Je ne sais pas mais j’ai découvert une chose étonnante…
Phil était entre mes cuisses, sa langue jouais avec mon bouton, mes lèvres, ses doigts me caressait, me titillait, me rendais folle. Mon excitation étant à son maximum, je mouillais comme jamais lorsque je sentis ce liquide chaud se répandre sur mes cuisses : j’avais inondé les draps ! je suis une femme fontaine !
Ca l’a rendu fou de désir et depuis quand ça arrive, c’est toujours aussi extraordinaire…

Ou enfin le soir où j’ai découvert l’autre plaisir… Eh oui, à cause de plein d’idées reçues, de mauvais partenaires, ça ne me branchais pas.
Tout a commencé lors d’un 69 particulièrement torride.. Sa langue sur mon clito, ses doigts courent de mes lèvres à ma rosette. Le mouvement de sa langue s’accélère, mon corps s’arque, je désire plus que tout qu’il me pénètre, peu importe où, car je devient folle. Il le comprends et enfonce doucement son doigt dans l’entrée des artistes.
Un peu gênant au début je me laisse faire et là c’est le déclic, je sais que c’est lui, j’ai confiance, je me laisse aller, devient égoïste et ne pense plus qu’à mon plaisir et quel plaisir ! J’ai eu un violent orgasme qui m‘a surprise autant que ça l’a ravis.. Pour la suite, on verra, mais ça, Phil, de temps en temps, tu peux recommencer …

Phil veut m offrir tout les plaisirs… Il m’a donc commandé un vibro, pourquoi pas..
Après des préliminaires assez chauds, il a passé le jouet vibrant sur mon clito, dans mon sexe, j‘ai trouvé ça agréable mais pas forcement excitant. Je préfère la chaleur de ces doigts et la douceur de sa langue…
A refaire ? Et vous cela vous a t’il fait pareil la première fois ? Merci de m’éclairer sur le sujet.

Voilà quelques unes de nos petites aventures, ainsi un soir je demandais à Phil ce que nous allions faire à la prochaine soirée spéciale après la découvertes de tout ces plaisirs. Le défi était lancé : Et pourquoi pas demander à l’autre ce qui nous fait envie mais sous forme de jeux ?La soirée « petit papiers » était en route…..


mercredi 30 mai 2007

L'imprévue

4h du mat. Pendaison de crémaillère. La fête bat son plein, l’alcool coule à flot. Lorsque je prend Faby par la taille pour une biguine enflammée, elle me regarde toute étonnée et d’un sourire coquin me glisse :
« - Je suis une touriste égarée qui ne saura pas retrouver son hôtel !
- Pas de soucis mademoiselle, laissez-moi vous raccompagner je suis d’ici. »
L’alcool à un effet plus qu’aphrodisiaque sur Faby. A peine démarré, elle commence à m’embrasser dans le cou tout en me caressant à travers le pantalon.

Encouragée par ma réaction, elle enlève son T-shirt en pleine ville et ouvre ma braguette. Excité, mes mains sur le volant et mes yeux sur la route, je suis obligé de me laisser faire et elle en profite bassement.

Elle glisse sa main, dans mon boxer et en extrait mon sexe qu’elle enfile dans sa bouche. Je sens ses lèvres, sa langue, je bande comme un fou : « attend, on est en ville, laisse moi trouver où m’arrêter ». Par provocation, en guise de réponse, elle arrête …. mais pour enlever son pantalon et se remet à me sucer. La situation, l’excitation, je ne sais plus où m’arrêter ! Ca y est, l’entrée d’un bois, j’en profite, et Faby aussi pour enlever le reste. Entièrement nue, elle m’arrache mes vêtements et se jette sur ma queue. C’est trop bon, je peux enfin me laisser aller.

Je glisse ma main entre ses cuisses et enfonce mes doigts dans sa chatte trempée. Ses gémissements non retenus me montrent qu’elle apprécie autant que moi et me donne envie de la lécher. Je me faufile sous son corps jusqu'à atteindre son sexe avec ma langue. Ce 69 improvisé avec cette tigresse en chaleur qui se tortille sur moi me surexcite. Son odeur, son goût, la chaleur de sa bouche sur ma queue, je n’en peux plus, et l’entraîne sur la banquette arrière.

Elle s’installe à quatre pattes, me présentant ses fesses offertes comme une invitation. Je la prend sauvagement et son plaisir monte très vite au fur et à mesure que je la chevauche. A la limite de l’orgasme, je me retire : « non, pas déjà !»
Je la retourne, maintient ses cuisses écartées, et m’enfonce sans ménagement en elle. A chaque coup de reins, Faby crie plus fort. Je me retiens sentant son orgasme très proche.
Enfin elle explose, provoquant une vague de plaisir qui m’emporte….
On se rappellera longtemps de cette pendaison de crémaillère !!!


mercredi 2 mai 2007

La deuxième : La fête des sens

Une dizaine de jours avant, elle m’avait dit : « choisis-toi la musique que tu auras envie d’écouter, car je veux stimuler tes cinq sens ! ». Combien d’images ont parcourues ma tête pendant les jours qui suivirent !! Comment comptait donc t-elle stimuler les quatre autres ?

Elle nous avait préparé un repas en amoureux, un bon vin, des bougies. C’était clair, le premier sens serait le goût. Puis à la fin du repas, elle m’annonça que le dessert ce serait : elle !

Elle mis cette station radio de smooth jazz que j’avais repéré sur le net et m’installa confortablement sur le lit, non sans avoir au préalable veillé à me resservir cet excellent rosé que nous avions bu au cours du repas, et filant se changer, me fit avec un clin d’œil « l’ouïe » !

C’est juste avec ses bas et un petit string assorti au soutien-gorge qu’elle réapparu devant moi avec un sourire moqueur. « C’était la vue » me dit-elle, puis elle me banda les yeux et me fit promettre de lui obéir.

Elle m’ordonna de me laisser faire avec l’interdiction de la toucher et vint se frotter contre moi. L’odeur enivrante de son parfum se mélangeait à celle de l’encens qu’elle avait mis à brûler : mon excitation commençait à monter. « L’odorat » me glissa t’elle dans l’oreille.

C’était un délice et un supplice à la fois. Ses lèvres avaient très vite quitté ma bouche pour s’aventurer sous mes vêtements qu’elle ôtait un à un jusqu’à me retrouver nu abandonné à ses caresses. Elle prit mon sexe durci par l’excitation dans sa bouche chaude et commença à me sucer lentement tout en me caressant du bout des doigts, faisant monter inexorablement mon envie. Lorsque fou de désir, elle stoppa et me permit enfin de la toucher … surprise ! Les yeux toujours bandés, en la déshabillant à tâtons, je découvris sous mes doigts qu’elle avait intégralement rasé son sexe.
Et alors que ma bouche venait se régaler avidement de ce dessert, au milieu de ses gémissements de plaisir, elle me souffla « le toucher ».

Mes sens exacerbés, je ne résistais pas longtemps à l’envie de la prendre presque aussi brutalement que l’orgasme qui me submergea.


mercredi 28 mars 2007

Notre première Soirée Spéciale

Je lui fis d’abord couler un bain moussant, car je la voulais détendue, prête à s’abandonner à ma soirée surprise car elle ne savait rien de ce qu’il allait arriver…

Pendant qu’elle se prélassais dans la baignoire, je m’appliquais à créer une ambiance : J’allumais quelques bougies, faisais brûler de l’encens, disposais des coussins sur le lit, nous servait un petit verre, roulais une cigarette toute aussi spéciale sans oublier de caler un film érotique sur le lecteur de dvd.

Elle est arrivé dans un joli petit ensemble très sexy et s’est allongée sur le lit. Alors qu’elle commençait à siroter son verre, j’ai envoyé le film, puis suis monté à mon tour profiter du bain. C’est habillé juste d’un jean que je suis revenu m’allonger à côté d’elle afin de trinquer à cette soirée qui s’annonçait très sensuelle. Nous avons regardé un peu le film, s’amusant de certaines scènes, tout en fumant notre calumet de l’amour. Nous étions bien, et déjà nos baisers devenaient très ardents.

« Fais-moi ce que tu veux » me souffla t’elle ! Il était temps de passer à la suite …J’attrapais une paire de menottes et lui indiquais de s’allonger sur le dos, lui attachant les mains à la tête de lit. Puis afin que son esprit enivré d’alcool et de shit puisse se concentrer sur son plaisir, je lui bandais les yeux.

Elle ne pouvait plus que sentir mes doigts et ma langue frôler sa peau. Je la faisais languir m’attardant sur son ventre, ses bras, ses cuisses. caressant ses seins à travers son soutien-gorge tout en déposant de tout petits baisers dans son cou. Lorsque j’eu libéré ses seins, son excitation était déjà bien visible. Et après avoir longuement caressé, léché et mordillé ses tétons, ma bouche alla se perdre entre ses cuisses, écartant le délicat tissus de ma langue pour mieux goûter son nectar : Son premier orgasme ne se fit pas attendre. Surexcité par ses gémissements, j’arracha son tanga, dévoilant son intimité luisantes de désir. L’invitation était trop séduisante pour être déclinée et je m’abandonnais enfin en elle dans une danse frénétique.

Une fois détachée et remise de ses émotions, tout en buvant un autre verre, elle me raconta à quel point elle avait aimé. Son histoire m’excitais et elle s’en rendit compte. Elle commença à me caresser et très vite sa bouche vint en renfort de sa main. Je ne pourrais pas dire combien de fois nous avons fait l’amour cette nuit là, mais c’est au petit matin que nous nous sommes écroulés, comblés…
Cette soirée « spéciale » avait vraiment était très réussie !