4h du mat. Pendaison de crémaillère. La fête bat son plein, l’alcool coule à flot. Lorsque je prend Faby par la taille pour une biguine enflammée, elle me regarde toute étonnée et d’un sourire coquin me glisse :
« - Je suis une touriste égarée qui ne saura pas retrouver son hôtel !
- Pas de soucis mademoiselle, laissez-moi vous raccompagner je suis d’ici. »
L’alcool à un effet plus qu’aphrodisiaque sur Faby. A peine démarré, elle commence à m’embrasser dans le cou tout en me caressant à travers le pantalon.
Encouragée par ma réaction, elle enlève son T-shirt en pleine ville et ouvre ma braguette. Excité, mes mains sur le volant et mes yeux sur la route, je suis obligé de me laisser faire et elle en profite bassement.
Elle glisse sa main, dans mon boxer et en extrait mon sexe qu’elle enfile dans sa bouche. Je sens ses lèvres, sa langue, je bande comme un fou : « attend, on est en ville, laisse moi trouver où m’arrêter ». Par provocation, en guise de réponse, elle arrête …. mais pour enlever son pantalon et se remet à me sucer. La situation, l’excitation, je ne sais plus où m’arrêter ! Ca y est, l’entrée d’un bois, j’en profite, et Faby aussi pour enlever le reste. Entièrement nue, elle m’arrache mes vêtements et se jette sur ma queue. C’est trop bon, je peux enfin me laisser aller.
Je glisse ma main entre ses cuisses et enfonce mes doigts dans sa chatte trempée. Ses gémissements non retenus me montrent qu’elle apprécie autant que moi et me donne envie de la lécher. Je me faufile sous son corps jusqu'à atteindre son sexe avec ma langue. Ce 69 improvisé avec cette tigresse en chaleur qui se tortille sur moi me surexcite. Son odeur, son goût, la chaleur de sa bouche sur ma queue, je n’en peux plus, et l’entraîne sur la banquette arrière.
Elle s’installe à quatre pattes, me présentant ses fesses offertes comme une invitation. Je la prend sauvagement et son plaisir monte très vite au fur et à mesure que je la chevauche. A la limite de l’orgasme, je me retire : « non, pas déjà !»
Je la retourne, maintient ses cuisses écartées, et m’enfonce sans ménagement en elle. A chaque coup de reins, Faby crie plus fort. Je me retiens sentant son orgasme très proche.
Enfin elle explose, provoquant une vague de plaisir qui m’emporte….
On se rappellera longtemps de cette pendaison de crémaillère !!!
mercredi 30 mai 2007
mercredi 2 mai 2007
La deuxième : La fête des sens
Une dizaine de jours avant, elle m’avait dit : « choisis-toi la musique que tu auras envie d’écouter, car je veux stimuler tes cinq sens ! ». Combien d’images ont parcourues ma tête pendant les jours qui suivirent !! Comment comptait donc t-elle stimuler les quatre autres ?
Elle nous avait préparé un repas en amoureux, un bon vin, des bougies. C’était clair, le premier sens serait le goût. Puis à la fin du repas, elle m’annonça que le dessert ce serait : elle !
Elle mis cette station radio de smooth jazz que j’avais repéré sur le net et m’installa confortablement sur le lit, non sans avoir au préalable veillé à me resservir cet excellent rosé que nous avions bu au cours du repas, et filant se changer, me fit avec un clin d’œil « l’ouïe » !
C’est juste avec ses bas et un petit string assorti au soutien-gorge qu’elle réapparu devant moi avec un sourire moqueur. « C’était la vue » me dit-elle, puis elle me banda les yeux et me fit promettre de lui obéir.
Elle m’ordonna de me laisser faire avec l’interdiction de la toucher et vint se frotter contre moi. L’odeur enivrante de son parfum se mélangeait à celle de l’encens qu’elle avait mis à brûler : mon excitation commençait à monter. « L’odorat » me glissa t’elle dans l’oreille.
C’était un délice et un supplice à la fois. Ses lèvres avaient très vite quitté ma bouche pour s’aventurer sous mes vêtements qu’elle ôtait un à un jusqu’à me retrouver nu abandonné à ses caresses. Elle prit mon sexe durci par l’excitation dans sa bouche chaude et commença à me sucer lentement tout en me caressant du bout des doigts, faisant monter inexorablement mon envie. Lorsque fou de désir, elle stoppa et me permit enfin de la toucher … surprise ! Les yeux toujours bandés, en la déshabillant à tâtons, je découvris sous mes doigts qu’elle avait intégralement rasé son sexe.
Et alors que ma bouche venait se régaler avidement de ce dessert, au milieu de ses gémissements de plaisir, elle me souffla « le toucher ».
Mes sens exacerbés, je ne résistais pas longtemps à l’envie de la prendre presque aussi brutalement que l’orgasme qui me submergea.
Elle nous avait préparé un repas en amoureux, un bon vin, des bougies. C’était clair, le premier sens serait le goût. Puis à la fin du repas, elle m’annonça que le dessert ce serait : elle !
Elle mis cette station radio de smooth jazz que j’avais repéré sur le net et m’installa confortablement sur le lit, non sans avoir au préalable veillé à me resservir cet excellent rosé que nous avions bu au cours du repas, et filant se changer, me fit avec un clin d’œil « l’ouïe » !
C’est juste avec ses bas et un petit string assorti au soutien-gorge qu’elle réapparu devant moi avec un sourire moqueur. « C’était la vue » me dit-elle, puis elle me banda les yeux et me fit promettre de lui obéir.
Elle m’ordonna de me laisser faire avec l’interdiction de la toucher et vint se frotter contre moi. L’odeur enivrante de son parfum se mélangeait à celle de l’encens qu’elle avait mis à brûler : mon excitation commençait à monter. « L’odorat » me glissa t’elle dans l’oreille.
C’était un délice et un supplice à la fois. Ses lèvres avaient très vite quitté ma bouche pour s’aventurer sous mes vêtements qu’elle ôtait un à un jusqu’à me retrouver nu abandonné à ses caresses. Elle prit mon sexe durci par l’excitation dans sa bouche chaude et commença à me sucer lentement tout en me caressant du bout des doigts, faisant monter inexorablement mon envie. Lorsque fou de désir, elle stoppa et me permit enfin de la toucher … surprise ! Les yeux toujours bandés, en la déshabillant à tâtons, je découvris sous mes doigts qu’elle avait intégralement rasé son sexe.
Et alors que ma bouche venait se régaler avidement de ce dessert, au milieu de ses gémissements de plaisir, elle me souffla « le toucher ».
Mes sens exacerbés, je ne résistais pas longtemps à l’envie de la prendre presque aussi brutalement que l’orgasme qui me submergea.
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